N.m. Étym. lat. vocare, appel­er. Cas présent en latin. Employé pour l’adresse en forme d’apostrophe unique­ment avec les noms pro­pres et com­muns. Employé tant pour glo­ri­fi­er que pour stig­ma­tis­er une per­son­ne en par­ti­c­uli­er. Il s’emploie notam­ment pour les adress­es aux divinités, aux puissants.