O’Toole, Peter

193?-2013. Comé­di­en irlandais. Act­if au théâtre puis au ciné­ma. Il débute au ciné­ma au cours des années 1950. Il jouera des rôles dra­ma­tiques comme dans Lawrence d’Arabie de David Lean, des films de guerre comme La Nuit des généraux d’Anatole Lit­vak ain­si que des rôles plus comiques notam­ment en France. À l’instar d’autres grands acteurs, John Giel­gud, Mal­colm Mac Dow­ell, il a été piégé dans Caligu­la au début des années 1980, dont le scé­nario ne pré­ci­sait pas tous les élé­ments pornographiques ajoutés au montage.

Oury, Gérard

19??-20??. Réal­isa­teur français. Spé­cial­isé dans le film comique, il a tourné dans les années 1960 La Grande Vadrouille et Le Cor­ni­aud, con­stru­its autour de per­son­nages incar­nés par Bourvil et Louis de Funès, et avec ce dernier et Yves Mon­tand, La Folie des Grandeurs. Il a con­tin­ué de tourn­er des comédies avec Louis de Funès Rab­bi Jacob, puis avec Coluche entre autres, L’Aile ou la Cuisse, tou­jours avec Louis de Funès et Inspecteur Labavure au début des années 1980.

Outinen, Kati

195?-. Fin­landaise. Comé­di­enne. Elle joue des rôles cen­traux dans le ciné­ma de Aki Kau­ris­mä­ki depuis le début des années 1980. elle est notam­ment présente dans La Fille aux allumettes, Juha, L’Homme sans passé. Par­al­lèle­ment elle tra­vaille au théâtre en Finlande.

Owen, Clive

197?-. Acteur anglais. Tra­vaille pour le ciné­ma prin­ci­pale­ment aux États-Unis. Il a notam­ment joué l’un des deux rôles prin­ci­paux dans Inside job de Spike Lee. son physique, et ses traits font qu’il inter­prète majori­taire­ment des per­son­nages forts et séducteurs. 

Ozon, François

195?-. Réal­isa­teur français. Il a notam­ment adap­té au ciné­ma dans les années 1990 la pièce de théâtre de Rain­er Wern­er Fass­binder inti­t­ulée Gouttes d’eau sur pier­res chaudes et a réu­ni huit grandes actri­ces français­es de dif­férentes généra­tions dans une comédie inti­t­ulée Huit femmes.

Ozu, Yazuhiro

19??-198?. Cinéaste japon­ais. Son ciné­ma se con­cen­tre sur le Japon con­tem­po­rain pop­u­laire et les muta­tions sociales con­séc­u­tives à la Deux­ième Guerre mon­di­ale. Il a en out­re tenu un par­ti en ter­mes de lan­gage ciné­matographique notam­ment par une caméra en légère con­tre-plongée, des plans fix­es l’usage d’une seule optique et faisant inter­venir les acteurs dans le champ pro­fond qu’il créait.