Échinoderme

N. Mam­mifères dont le corps est par­tielle­ment recou­vert de pointes comme le héris­son, le porc-épic ou d’écailles comme le pangolin.

Écureuil

N.m. Mam­mifère rongeur. Arbori­cole, de nom­breuses espèces sont présentes sur les cinq con­ti­nents. Les prin­ci­pales sont l’écureuil roux indigène en Europe; l’écureuil gris en Amérique du Nord; l’écureuil volant, présent en Asie du sud-est; appelé ain­si pour les mem­branes de peau reliant ses pattes antérieures et postérieures.

Eider

N.m. Oiseau de mer de l’At­lan­tique nord. Son duvet est recher­ché pour le gar­nissage des duvets. 

Élan

N.m. Mam­mifère her­bi­vore présent en Scan­di­navie, en Russie et dans la par­tie septen­tri­onale de l’Amérique du Nord où il vit à l’état sauvage. Ani­mal à sabots de grande taille pou­vant attein­dre 1,5 mètres au gar­rot, dont le mâle est pourvu de bois ram­i­fiés. Une var­iété améri­caine appelée orig­nal porte des bois moins dévelop­pés. Il est chas­sé comme gibier et domes­tiqué en trou­peaux voire pour le trait, notam­ment chez les Sames en Scan­di­navie ou en Russie septentrionale.

Éléphant

N. Fém. ‑e. 1. Mam­mifère her­bi­vore de la famille des pachy­der­mes, qui sig­ni­fie, à la peau épaisse. Les deux espèces présentes aujourd’hui sont l’éléphant d’Afrique et l’éléphant d’Asie. Ils sont les plus grands ani­maux ter­restres. Quadrupède pourvu d’une trompe préhen­sile, qui est son nez et de grands pavil­lons d’oreilles. De sa bouche sor­tent deux dents pointues appelées défens­es, de longueur vari­able selon les espèces, et d’une queue. La peau est grise et ridée et com­porte des poils. L’habitat de l’éléphant d’Afrique s’étend des savanes sub­sa­hari­ennes à celles d’Afrique aus­trale. Il mesure jusqu’à trois mètres et demi au gar­rot et pèse entre 3 et 8 tonnes. Toute­fois, un spéci­men de 10,875 tonnes a été abat­tu en Ango­la en 1957. Les défens­es peu­vent attein­dre deux mètres de long. L’éléphant d’Asie, prin­ci­pale­ment présent dans le sous-con­ti­nent indi­en et en Asie du Sud-est est de taille moins impor­tante, son poids excède rarement les trois tonnes et la hau­teur au gar­rot deux mètres et demi. Ses défens­es sont égale­ment net­te­ment moins longues et les pavil­lons des oreilles moins grands pro­por­tion­nelle­ment. Les ancêtres éteints des éléphants sont con­nus à tra­vers des restes trou­vés dans le pergélisol en Sibérie dans le cas des mam­mouths. Il s’agit d’éléphants laineux au pelage roux, pourvus de défens­es plus recour­bées et dont la taille excé­dait celle des plus grands indi­vidus exis­tant aujourd’hui. Il exis­tait dans les actuelles zones tem­pérées un autre type d’éléphant lui aus­si dis­paru, le mastodonte, qui lui était, comme les espèces vivantes, nu. Les éléphants, en Afrique prin­ci­pale­ment, sont aujourd’hui une espèce men­acée du fait, prin­ci­pale­ment de la chas­se de loisir, de sub­sis­tance mais surtout par les trafi­quants d’ivoire. La men­ace tient aus­si au fait que la ges­ta­tion dure deux ans. La longévité d’un éléphant peut attein­dre soix­ante ans. la mort naturelle provient de l’affaiblissement con­sé­cu­tif au fait qu’une fois usées les qua­tre séries de dents suc­ces­sives, il ne peut plus se nour­rir suff­isam­ment. cela entraîne une évic­tion du trou­peau par un nou­v­el indi­vidu plus fort, à la suite de quoi l’animal âgé s’isole et finit par mourir de faim. 2. Expr. Voir des éléphants ros­es. Être atteint d’hallucinations dues à un délire éthylique.