Jackson, Michael

195?-200?. Musi­cien améri­cain. Il débute enfant avec ses frères aînés dans les Jack­son Five sus la houlette de leur père. Sa voix et sa façon de danser vont tôt décider leur père, qui pro­duit le groupe, ain­si que la mai­son de disque de le men­er à une car­rière solo. Durant les années 1980, il inter­prète des com­po­si­tions écrites sur mesure par Quin­cy Jones qui l’amèneront au pin­na­cle de la pop, notam­ment des titres comme Bil­lie Jean, I’m Bad ou Thriller. Le clip de cette dernière est réal­isé par John Lan­dis qui met en évi­dence le danseur dans des choré­gra­phies par­faite­ment réglées. Il est au cours des dix ans qui suiv­ent l’objet d’une admi­ra­tion mon­di­ale. Le pub­lic se divis­era par la suite sur ses recours répétés à la chirurgie esthé­tique qui gom­ment petit à petit son iden­tité noire et le font devenir pro­gres­sive­ment un homme de peau blanche aux traits ten­dant vers une image d’elfe. Par­al­lèle­ment à cela, il se voit inculpé dans des affaires de mœurs. Fondées ou non, celles-ci con­tin­u­ent à partager le pub­lic. Sa mort, sur­v­enue alors qu’allait com­mencer une tournée mon­di­ale autour d’un pro­jet neuf, a révélé à quel point il restait impor­tant pour le public.

Jackson, Milt

19??-198?. Vibra­phon­iste améri­cain. Il a fondé avec le bat­teur Con­nie Kay le Gold­en Gate Quar­tet au cours des années 1950, un ensem­ble de jazz où la ryth­mique et les per­cus­sions occu­paient une place prépondérante et plaçant le vibra­phone au pre­mier plan.

Jackson, Peter

196?-. Réal­isa­teur néo-zélandais. Il a débuté sa car­rière en tour­nant des films gore à petit bud­get. Il s’est ensuite vu con­fi­er la réal­i­sa­tion d’un remake de King Kong. Depuis, il a pris en main l’adaptation en trois volets du Seigneur des Anneaux de J.R.R. Tolkien et tra­vaille actuelle­ment aux adap­ta­tions de Bil­bo le Hob­bit du même Tolkien.

Jackson, Samuel L.

195?-. Acteur améri­cain. Il joue prin­ci­pale­ment dan des thrillers, des films policiers et d’action. Selon les con­textes, il met en avant une dimen­sion comique ou de dur. Sa fil­mo­gra­phie com­prend notam­ment Incass­able de M. Night Shya­malan, Pulp Fic­tion et Jack­ie Brown de Quentin Taran­ti­no ain­si qu’une adap­ta­tion pour le ciné­ma de la série Shaft.

Jacob, Irène

1966-. Comé­di­enne française, née à Genève où elle a étudié. Elle suit pen­dant l’adolescence des cours de théâtre, l’interprétation avec Anne Vauch­er et Béné­dict Gam­pert et l’improvisation avec Nad­er Far­man. C’est sous sa direc­tion qu’elle joue une pre­mière pièce en pub­lic, Les Bonnes de Jean Genet. Une fois ter­minées ses études sec­ondaires elle entre à l’école de la rue Blanche à Paris. Peu après, elle joue son pre­mier rôle chez Krszystof Kies­lows­ki, dans La Dou­ble vie de Véronique. Elle le retrou­vera dans dans Rouge, de sa trilo­gie Bleu, Blanc, Rouge. Plus tard elle jouera dans un thriller aux côtés de Robert de Niro. En 2013, elle a joué dans une pièce vidéo de Valérie Mréjen.

Jacob, Luis

197?-. Artiste améri­cain. Il tra­vaille prin­ci­pale­ment l’accumulation de pho­tos trou­vées, dis­posées dans l’espace, invi­tant à une cir­cu­la­tion et pro­duisant des ébauch­es de réc­its, rapi­de­ment mis­es en échec par la dis­con­ti­nu­ité des sujets. Il abor­de ces ques­tions dans l’espace du livre.

Jacob, Max

189?-1944. Poète français. Impliqué dans les milieux artis­tiques parisiens et com­pagnon de route des sur­réal­istes. Il ser aar­rêté au cours de la Sec­onde Guerre mon­di­ale et mour­ra en déportation.

Jacobin

N. et adj. Fém. ‑ine. 1. Par­ti­san du mou­ve­ment jacobin au cours de la Révo­lu­tion française de 1789. 2. N. Fig. Per­son­ne prô­nant un pou­voir cen­tral­isé. 3. Adj. Relatif au jacobinsme.