À

Prép. Indique la des­ti­na­tion d’une parole, d’un objet, ou d’un lieu, du point de vue de l’énonciateur. Vient du latin ad sig­nifi­ant vers. Famil­ière­ment, se sub­stitue à de pour indi­quer l’appartenance: C’est la brosse à dents à Claude.

A

L. et v.1. Pre­mière let­tre de l’alphabet. 2. V. Troisième per­son­ne du sin­guli­er de l’indicatif présent du verbe avoir.

Abaissement

N.m. 1. déplace­ment d’un objet, une valeur, un taux, une mon­naie, une tem­péra­ture d’un niveau à un niveau inférieur. 2. Résul­tat observé de l’action une fois celle-ci effectuée. 

Abandon

N.m. 1.État d’un objet, lorsque celui-ci n’est plus util­isé ou plus entretenu pour sa fonc­tion, son usage et lorsqu’il ne fait plus l’objet d’attention. 2. Par analo­gie, sen­ti­ment d’une per­son­ne qui est ou se sent délais­sée, n’attirant plus ni atten­tion ni soin de la part d’une autre. 3. Fig. con­di­tion dans laque­lle une per­son­ne laisse toutes ses défens­es de côté, dans le cas d’une rela­tion affec­tive, sex­uelle ou religieuse. 4. inter­rompre avant son terme une activité.

Abandonnisme

N.m. Ten­dance à se sen­tir aban­don­né dans le cadre de rela­tions affectives.

Abaque

N.m. Appareil de cal­cul ayant la forme d’un bouli­er. Cet appareil très ancien est encore large­ment en usage en Chine dans le com­merce et per­met des cal­culs complexes.

Abattage

N.m. 1. Couper des arbres, tuer des êtres vivants. 2. Accom­plir une grande quan­tité de tra­vail. 3. Forme de pros­ti­tu­tion par con­trainte con­sis­tant à pass­er d’un client à l’autre sans répit, durant un long moment. Sou­vent appliquée par les prox­énètes comme punition.

Abattement

N.m. 1. État de décourage­ment pro­fond. 2. Opéra­tion fis­cale per­me­t­tant d’obtenir sous cer­taines con­di­tions un taux de tax­a­tion réduit.

Abdication

N.f. Renon­ce­ment par un monar­que à l’exercice et à la charge du pouvoir.