Échec

N.m. 1. Action n’étant pas couron­née de suc­cès, n’ayant pas pro­duit les résul­tats espérés. 2. Plur. Jeu de stratégie d’origine per­sane. Il se joue sur un plateau en dami­er à soix­ante-qua­tre cas­es. S’y opposent deux armées com­posées de seize pièces: une reine, un roi, deux fous, deux chevaux, deux tours et huit pio­ns. Ces pièces ont cha­cune une façon de bouger pré­cise. Le but du jeu con­siste à met­tre le roi adverse en sit­u­a­tion d’être pris. Une fois celui-ci dans l’impossibilité de se déplac­er sans qu’au prochain coup, il soit pris il est dit mat. 3. Échec au roi. Annonce oblig­a­toire lorsqu’au jeu d’échecs une fig­ure met le roi adverse en sit­u­a­tion d’être pris au coup suiv­ant s’il ne se déplace pas.

Échelon

N.m. 1. Tra­verse hor­i­zon­tale for­mant une marche d’une échelle. 2. Fig. État de pro­gres­sion dans une hiérar­chie. 3. Étape franchie dans une sit­u­a­tion pro­fes­sion­nelle ou de violence.

Échelonnement

N.m. 1. Écarts de pro­gres­sion étab­lis pour un type de mesure, per­me­t­tant de situer des élé­ments les uns par rap­port aux autres. 2. Divi­sion du mon­tant d’une dette en un nom­bre de tranch­es répar­ties dans le temps afin de per­me­t­tre au débi­teur de rem­bours­er une somme.