Hypnose

N.f. 1. Tech­nique thérapeu­tique per­me­t­tant, par la mise dans un état de con­science mod­i­fié du patient par un prati­cien d’accéder à cer­tains sou­venirs refoulés ou inac­ces­si­bles ou de dés­ac­tiv­er des peurs. Lorsque elle est induite par le patient, on par­le d’autohypnose. 2. État dans lequel se trou­ve une per­son­ne hypnotisée.

Hypocondrie

N.f. Trait de car­ac­tère pou­vant devenir hand­i­ca­pant, con­sis­tant à fréquem­ment s’imaginer des mal­adies, graves ou bénignes.

Hypothermie

N.f. Tem­péra­ture cor­porelle inférieure ou égale à 34 degrés Cel­sius. Plus l’hypothermie est impor­tante, plus les risques de lésions cérébrales ou aux organes sont élevés. Toute­fois, sous con­trôle médi­cal et en cas de cer­taines patholo­gies, elle peut être provo­quée à des fins thérapeutiques.

Hystérie

N.f. Gr. Hys­ter. Utérus. Mal­adie psy­chique décrite à la fin du 19e siè­cle et indû­ment con­sid­érée comme stricte­ment fémi­nine. Ses symp­tômes en seraient, selon la grav­ité, un énerve­ment panique, une irri­tabil­ité extrême et des peurs irraison­nées. Cette affec­tion n’est plus con­sid­érée comme per­ti­nente médicalement.

Ictère

N.m. Affec­tion du foie agis­sant sur sa capac­ité à extraire du sang cer­taines tox­ines, entraî­nant un jau­nisse­ment de la peau et de la cornée. Nom sci­en­tifique de la jaunisse.

Ictus

N.m. Gr. Ichtyos. Pois­son. Attaque cérébrale occa­sion­née par la for­ma­tion d’un cail­lot pénal­isant l’irrigation de cer­taines zones du cerveau.