Å’il

N.m. 1. Organe de la vue, de forme sphérique. Dans la plu­part des cas ils sont au nom­bre de deux. Ils sont situés de part et d’autre du nez dans une cav­ité du crâne et pro­tégés des agres­sions mécaniques et de l’éblouissement par deux mem­branes de peau rétrac­tiles appelées paupières. Le globe lui-même se com­pose d’une face externe trans­par­ente appelée cornée, de l’iris col­oré, bor­dant la pupille dont le diamètre vari­able règle la quan­tité de lumière admise. L’intérieur du globe con­tient un liq­uide trans­par­ent appelé cristallin. Le fond du globe est tapis­sé de cel­lules pho­to­sen­si­bles de deux types appelées bâton­nets, qui réagis­sent à l’intensité lumineuse et les cônes, qui dis­crim­i­nent les couleurs, lesquelles sont reliées au nerf optique qui se rat­tache au fond de l’œil et trans­met sous formes d’impulsions élec­triques les infor­ma­tions au cerveau. 2. Fig. Le cen­tre d’un cyclone, d’une tor­nade. 3. Avoir l’œil. Être obser­va­teur. 4. À l’œil. Se dit d’un objet ou d’une presta­tion obtenus sans pay­er. 5. Mon œil. Ne pas croire les paroles de quelqu’un, helv. Sous l’œil. 6. Avoir à l’œil. Sur­veiller une per­son­ne. Étym. du lat. Ocu­lus, œil.

Œil-de-bœuf

N.m. Fenêtre de forme ronde sou­vent placée en hau­teur util­isée prin­ci­pale­ment pour accroître la lumi­nosité d’une pièce.

Å’illet

N.m. 1. Fleur aux pétales nom­breux et chif­fon­nés, le plus sou­vent rouge, blanc, rose ou chiné. 2. Ouver­ture ren­for­cée d’un anneau métallique, ménagée dans une sur­face de tis­su, de cuir ou de plas­tique des­tinée à faire pass­er une corde ou un crochet.