Yale

Ville uni­ver­si­taire de l’État du Mass­a­chu­setts aux États-Unis.

Yalta

Ville d’Ukraine située sur la Mer Noire en Crimée. En 1945, une con­férence organ­isée par les vain­queurs de la Sec­onde Guerre mon­di­ale pour la répar­ti­tion des zones d’influence stratégiques s’y est tenue.

Yamaha

N.d. Entre­prise japon­aise d’instruments de musique et de motos ce qui explique les trois dia­pa­sons entrelacés fig­u­rant sur le sigle des motos du con­struc­teur. Ini­tiale­ment une fab­rique de pianos, dont des pianos de con­cert réputés qu’elle con­tin­ue de pro­duire à ce jour, elle se lance dans la pro­duc­tion de motos de toutes cylin­drées. À par­tir de la fin des années 1970, le con­struc­teur devient de plus en plus présent dans dif­férentes dis­ci­plines des sports mécaniques, notam­ment les grands prix, les cours­es d’endurance et les ral­lyes-raids comme le Paris-Dakar mais aus­si le grand tourisme avec les FJ 1100, 1200, puis 1300cm3. Des mod­èles inspirés des dif­férents types de com­péti­tion seront pro­duits et déclinés à par­tir du début des années 1980, notam­ment la XT 500, un trail mono­cylin­dre de 500 cm3 dont les décli­naisons en 600, Ténéré puis 660 cm3 con­tin­u­ent à ce jour. Ce mod­èle fondera un type de motos que les mar­ques con­cur­rentes repren­dront. Dans le domaine typé com­péti­tion, Yama­ha com­mer­cialise en 1985 la RDLC 500 à moteur qua­tre cylin­dres deux-temps, calquée sur les machines de course de l’époque. La mar­que dévelop­pera aus­si des motos à moteur qua­tre temps carénées, inspirées des motos de cir­cuit, FZ 750 et 1000, R1. En 1986 est com­mer­cial­isé un autre mod­èle qui va créer un genre, la V‑Max, un road­ster à moteur V4, qua­tre temps avec trans­mis­sion par car­dan dévelop­pant 145 chevaux qui sera suivi d’une refonte styl­is­tique et en ter­mes de motori­sa­tion en 2010 avec la ver­sion 1700. La même année, la SRX 600 remet au goût du jour les motos non carénées inspirées des motos anglais­es des années 1960 et 1970. Le marché des scoot­ers con­nais­sant à par­tir de la sec­onde moitié des années 1980 un essor impor­tant, une col­lab­o­ra­tion a été mise sur pied avec Peu­geot. Au début des années 2000, appa­raît un mod­èle mis­ant sur la puis­sance le TMax 500 cm3, suivi aujourd’hui de la ver­sion 535 cm3. La mar­que a par ailleurs pro­duit quelques exem­plaires d’une voiture hyper­sportive. L’incursion dans le domaine de la voiture restera sans lendemain. 

Yamoussoukro

Ville de Côte d’Ivoire au cen­tre du pays. Située dans la région d’origine de Félix Houphouët-Boigny, le pre­mier prési­dent du pays après la fin de la coloni­sa­tion. Il y a fait con­stru­ire une cathé­drale dont la forme est celle de la basilique Saint-Pierre de Rome, mais dont la taille est légère­ment inférieure afin de ne pas con­cur­rencer l’original.

Yan, Mo

195?-. Chi­nois. Romanci­er. Ses livres, comme Beaux seins, belles fess­es trait­ent, sur un mode picaresque et tru­cu­lent, de la vie durant l’ère maoïste. Son ton lui vaut d’être aujourd’hui encore en déli­catesse avec la cen­sure de son pays.

Yang-Tzé

Fleuve coulant en Chine. Il a pen­dant une péri­ode été appelé Fleuve jaune en français.

Yanne, Jean

193?-20??. Acteur, chanteur, homme de radio et réal­isa­teur français. Il débute à la fin des années 1950. Il devient célèbre au ciné­ma à la fin des années 1960 et au début des années 1970 pour ses rôles de bour­geois fran­chouil­lard de droite chez Claude Chabrol, dans Le Bouch­er ou Que la bête meure ou avec Jean-Luc Godard dans Week-end. Par­al­lèle­ment à sa car­rière d’acteur, il écrit, réalise et joue dans des films cor­rosifs comme Tout le monde il est beau, tout le monde il est gen­til ou Les Chi­nois et pour­suit une car­rière d’homme de radio dans des émis­sions satiriques. Il jouera à nou­veau pour Chabrol, notam­ment dans Madame Bovary à la fin des années 1980. Durant cette péri­ode, il tourn­era encore deux comédies, Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ et Lib­erté, égal­ité, chou­croute. Il inter­prétera aus­si un rôle dans un pre­mier film Je cale mon pas sur le pas de mon père. Auteur de quelques livres humoris­tiques dans lesquels il laisse libre cours une fois encore à sa verve anar­chiste, il revient à la chan­son avec Rou­vrez les maisons, pour soutenir un pro­jet de réou­ver­ture des maisons closes.