Cendrars, Blaise, Frédéric Sauser-Hall, dit

188?-195?. La Chaux-de-Fonds, Paris. Auteur suisse. Romanci­er, jour­nal­iste et poète. Engagé dans la Légion étrangère il a été amené à com­bat­tre sous le dra­peau français durant la Pre­mière Guerre mon­di­ale. Il y per­dra un bras. Auteur de nom­breux romans, L’Or, Morav­agine, ou encore La Main coupée, Bourlinguer, dans lesquels la perte de son bras est évo­quée. Il est aus­si l’auteur d’un recueil de con­tes et mythes africains l’Antholo­gie nègre. Son hand­i­cap ne le frein­era pas dans ses voy­ages et déplace­ments. Il s’est fait équiper une voiture de sorte à pou­voir la con­duire avec une main. Proche des milieux artis­tiques parisiens, notam­ment des cubistes, de dadaïstes et par­ti­c­ulière­ment de Robert et Sonia Delau­nay. Il écrira le poème La prose du Transsi­bérien avec des dessins de Robert Delau­nay édité sous forme d’un lep­orel­lo œuvre de Sonia Delau­nay, sem­blable dans sa forme à un itinéraire. 

Cendre

N.f. 1. Résidu de la com­bus­tion. 2. Plur. Fête chré­ti­enne célébrée un mercredi.

Cendré, e

Adj. 1. Recou­vert de cen­dre. 2. D’un gris proche de celui de la cendre.

Cendrier

N.m. 1. Récip­i­ent des­tiné à recevoir les résidus par l’activité des fumeurs. 2. Emplace­ment muré en maçon­ner­ie, situé à l’extérieur d’une habi­ta­tion où sont déposées les cen­dres provenant des poêles de chauffage.

Cène

N.f. Lat. Cena. Repas. S’emploie exclu­sive­ment précédé de Sainte pour désign­er le dernier repas de Jésus avec les apôtres.

Cenovis

N.d. Condi­ment pro­duit en Suisse selon les péri­odes par divers­es entre­pris­es qui à tour de rôle ont acheté la recette con­fi­den­tielle, inclu­ant l’exclusivité de com­mer­cial­i­sa­tion. Il se présente sous la forme d’une pâte brun fon­cé et se com­pose de bouil­lon de légumes, de sel et de lev­ure de bière pour la teneur en vit­a­mine B1.

Cens

N.m. Impôt ayant cours en France notam­ment durant l’ancien régime.