Cache-cœur

N.m. Vête­ment féminin. Jaque­tte courte dont le bas se ter­mine en deux par­ties allongées. Les deux par­ties sont croisées au cen­tre et passent sous les seins avant d’être réu­nies par un nœud au niveau de la taille, sur l’avant, de côté ou à l’arrière.

Cache-misère

N.m. Solu­tion insat­is­faisante, adop­tée pour ten­ter de résoudre une sit­u­a­tion problématique.

Cache-poussière

N.m. Survête­ment féminin porté pour effectuer les tâch­es ménagères domes­tiques ou pro­fes­sion­nelles. Il se présente sou­vent comme une robe à manch­es cour­tes descen­dant jusqu’aux genoux. Une autre forme est égale­ment répan­due qui con­siste en une sorte de pon­cho dont les par­ties arrière et avant sont reliées au niveau de la taille par des lanières munies de boutons-pression.

Cache-sexe

N.m. Pièce de tis­su ou de cuir plus ou moins envelop­pante, portée par les femmes et les hommes dans cer­taines cul­tures pre­mières vivant sans autres vête­ments, des­tinée à dis­simuler et pro­téger le sexe.

Cachemire

N.m. Laine fine et douce, pro­duite à par­tir de la laine de chèvres d’une espèce indigène du Cachemire au nord de l’Inde. La pro­duc­tion réduite de cette laine en fait un pro­duit coûteux.

Cacher

V. 1. Sous­traire à la vue, dis­simuler par jeu ou en cas de dan­ger. 2. Ne pas livr­er une infor­ma­tion, une opinion.

Cachet

N.m. 1. Goutte de cire à cacheter dans laque­lle est imprimé un sigle, apposée sur la lim­ite du rabat d’une enveloppe ou d’un rouleau. La fonc­tion en est dou­ble, d’une part authen­ti­fi­er l’expéditeur et assur­er que le con­tenu n’a pas été vu avant d’avoir été remis au des­ti­nataire. 2. Tam­pon encreur employé par les admin­is­tra­tions, les postes, por­tant des infor­ma­tions offi­cielles ou de temps et de lieu. 3. Médica­ment sous forme de poudre com­pressée admin­istré par voie orale. 4. Paiement au coup par coup, hors con­trat, des presta­tions d’un musi­cien, d’un comé­di­en. 5. Méton. Mon­tant perçu par un artiste tra­vail­lant au cachet. 6. Fig. Let­tre de cachet. Façon pour les rois de France de trans­met­tre des instruc­tions extra-judi­ci­aires rel­e­vant de leur autorité directe, employée notam­ment pour des incar­céra­tions sans procès.