Jackson, Joe

195?-. Musi­cien bri­tan­nique instal­lé aux États-Unis. Auteur et com­pos­i­teur de le plu­part des chan­sons qu’interprète, il chante et joue du piano. Après deux dis­ques parus en 1977 et 1978, Look Sharp et I’m The Man, claire­ment rock voire punk, il opère un retour vers le jazz qui est sa musique d’élection. Il sort alors les albums Jumpin’Jive et Night and Day con­tem­po­rains de son départ pour New York, qui sont nour­ris du jazz des années 1930 et 1940, tant comme influ­ence que par des repris­es. Sa voix, ses textes la pro­duc­tion et les arrange­ments sont par con­tre claire­ment d’aujourd’hui. Il col­la­bore de façon récur­rente avec cer­tains musi­ciens, notam­ment son bassiste, qui est présent depuis les pre­miers dis­ques et la per­cus­sion­niste Sue Had­jopou­los. Il pour­suit sa car­rière, tra­vail­lant par­fois avec des big bands.

Jackson, Mahalia

18??-195?. Chanteuse améri­caine de jazz, de blues et de gospel. Elle est l’une des grandes voix noires améri­caines ayant exer­cé une influ­ence impor­tante sur Bil­lie Hol­i­day ou Ella Fitzgerald.

Jackson, Michael

195?-200?. Musi­cien améri­cain. Il débute enfant avec ses frères aînés dans les Jack­son Five sus la houlette de leur père. Sa voix et sa façon de danser vont tôt décider leur père, qui pro­duit le groupe, ain­si que la mai­son de disque de le men­er à une car­rière solo. Durant les années 1980, il inter­prète des com­po­si­tions écrites sur mesure par Quin­cy Jones qui l’amèneront au pin­na­cle de la pop, notam­ment des titres comme Bil­lie Jean, I’m Bad ou Thriller. Le clip de cette dernière est réal­isé par John Lan­dis qui met en évi­dence le danseur dans des choré­gra­phies par­faite­ment réglées. Il est au cours des dix ans qui suiv­ent l’objet d’une admi­ra­tion mon­di­ale. Le pub­lic se divis­era par la suite sur ses recours répétés à la chirurgie esthé­tique qui gom­ment petit à petit son iden­tité noire et le font devenir pro­gres­sive­ment un homme de peau blanche aux traits ten­dant vers une image d’elfe. Par­al­lèle­ment à cela, il se voit inculpé dans des affaires de mœurs. Fondées ou non, celles-ci con­tin­u­ent à partager le pub­lic. Sa mort, sur­v­enue alors qu’allait com­mencer une tournée mon­di­ale autour d’un pro­jet neuf, a révélé à quel point il restait impor­tant pour le public.

Jackson, Milt

19??-198?. Vibra­phon­iste améri­cain. Il a fondé avec le bat­teur Con­nie Kay le Gold­en Gate Quar­tet au cours des années 1950, un ensem­ble de jazz où la ryth­mique et les per­cus­sions occu­paient une place prépondérante et plaçant le vibra­phone au pre­mier plan.

Jackson, Peter

196?-. Réal­isa­teur néo-zélandais. Il a débuté sa car­rière en tour­nant des films gore à petit bud­get. Il s’est ensuite vu con­fi­er la réal­i­sa­tion d’un remake de King Kong. Depuis, il a pris en main l’adaptation en trois volets du Seigneur des Anneaux de J.R.R. Tolkien et tra­vaille actuelle­ment aux adap­ta­tions de Bil­bo le Hob­bit du même Tolkien.

Jackson, Samuel L.

195?-. Acteur améri­cain. Il joue prin­ci­pale­ment dan des thrillers, des films policiers et d’action. Selon les con­textes, il met en avant une dimen­sion comique ou de dur. Sa fil­mo­gra­phie com­prend notam­ment Incass­able de M. Night Shya­malan, Pulp Fic­tion et Jack­ie Brown de Quentin Taran­ti­no ain­si qu’une adap­ta­tion pour le ciné­ma de la série Shaft.

Jacob, Irène

1966-. Comé­di­enne française, née à Genève où elle a étudié. Elle suit pen­dant l’adolescence des cours de théâtre, l’interprétation avec Anne Vauch­er et Béné­dict Gam­pert et l’improvisation avec Nad­er Far­man. C’est sous sa direc­tion qu’elle joue une pre­mière pièce en pub­lic, Les Bonnes de Jean Genet. Une fois ter­minées ses études sec­ondaires elle entre à l’école de la rue Blanche à Paris. Peu après, elle joue son pre­mier rôle chez Krszystof Kies­lows­ki, dans La Dou­ble vie de Véronique. Elle le retrou­vera dans dans Rouge, de sa trilo­gie Bleu, Blanc, Rouge. Plus tard elle jouera dans un thriller aux côtés de Robert de Niro. En 2013, elle a joué dans une pièce vidéo de Valérie Mréjen.

Jacob, Luis

197?-. Artiste améri­cain. Il tra­vaille prin­ci­pale­ment l’accumulation de pho­tos trou­vées, dis­posées dans l’espace, invi­tant à une cir­cu­la­tion et pro­duisant des ébauch­es de réc­its, rapi­de­ment mis­es en échec par la dis­con­ti­nu­ité des sujets. Il abor­de ces ques­tions dans l’espace du livre.