Jacob, Max

189?-1944. Poète français. Impliqué dans les milieux artis­tiques parisiens et com­pagnon de route des sur­réal­istes. Il ser aar­rêté au cours de la Sec­onde Guerre mon­di­ale et mour­ra en déportation.

Jacobin

N. et adj. Fém. ‑ine. 1. Par­ti­san du mou­ve­ment jacobin au cours de la Révo­lu­tion française de 1789. 2. N. Fig. Per­son­ne prô­nant un pou­voir cen­tral­isé. 3. Adj. Relatif au jacobinsme.

Jacobinisme

N.m. Pen­sée poli­tique ayant eu cours durant la Révo­lu­tion française de 1789, mil­i­tant pour un pou­voir centralisé.

Jacobs, Edgar, Pierre

191?-197?. Auteur belge de ban­des dess­inées, représen­tant majeur de l’école belge. Ayant d’abord envis­agé de devenir chanteur d’opéra, il a tra­vail­lé pour des mag­a­zines de bande dess­inée. Sa posi­tion de scé­nar­iste et dessi­na­teur com­mence au cours de la Sec­onde Guerre mon­di­ale. Alors dessi­na­teur au Jour­nal de Tintin qui pub­li­ait les aven­tures de Guy l’éclair (Flash Gor­don), l’entrée en guerre des États-Unis rend la série améri­caine impub­li­able. Il lui est alors demandé de créer des aven­tures sem­blables, il écrira ce qui devien­dra Le Ray­on U en albums. Ses deux héros pré­fig­urent Blake et Mor­timer qui seront l’œuvre de toute sa vie. Il s’agit en effet d’un mil­i­taire blond et mous­tachu et d’un sci­en­tifique bar­bu. Après la guerre, il développe ses per­son­nages qui for­meront la série des Blake et Mor­timer, parais­sant en plusieurs tomes pour cer­tains. Il y aura Le Secret de l’Espadon, Le Mys­tère de la Grande Pyra­mide, La Mar­que jaune, l’Affaire du col­lier, Sos Météores, le Piège dia­bolique et, resté inachevé à sa mort après la sor­tie du pre­mier tome Les Trois for­mules du Pro­fesseur Satô. Il a égale­ment fait les illus­tra­tions pour une édi­tion de La Guerre des mon­des de H.G. Wells. LA série lui survit aux mains de groupe s de scé­nar­istes et dessi­na­teurs. L’une de ses par­tic­u­lar­ités a été de créer un enne­mi immoral récur­rent en la per­son­ne du Colonel Olrik auquel il prê­tait ses traits.

Jacquard

N.m. 1. Motif de tis­sage com­por­tant plusieurs couleurs traçant des car­rés sur leur pointe sur un fond d’une teinte. 2. Méti­er à tiss­er com­mandé par cartes per­forées inven­té par Jacques-Antoine Jacquard au 18e siè­cle.

Jacquard, Albert

192?-20??. Généti­cien français. Par­al­lèle­ment à une car­rière de chercheur et d’enseignant, il a écrit de livres de vul­gar­i­sa­tion sci­en­tifique. Il s’est tôt engagé dans les ques­tions rel­a­tives à l’environnement, comme son ouvrage Voici le temps du monde fini en témoigne. Les ques­tions d’environnement et, par­tant, de la pol­lu­tion l’ont amené sur le ter­rain de luttes sociales, de la défi­ance envers les grandes entre­pris­es et de leurs effets tant sur les per­son­nes que sur l’environnement. à la fin de sa vie il pre­nait fait et cause pour les sans logis.

Jacquard, Jacques-Antoine

17??-18??. Indus­triel français. Pro­prié­taire de fila­tures, il a inven­té un sys­tème de sélec­tion automa­tique des fils à employ­er reposant sur des car­tons per­forés selon le motif à créer. La pre­mière util­i­sa­tion découlant de ce procédé don­nera les orgues de bar­barie, la sec­onde étant son réem­ploi dans l’informatique naissante.