Île française située sur la côte atlan­tique face au départe­ment de la Charente-Maritime.

Réa

N.f. Gorge lon­gi­tu­di­nale de la roue d’une poulie dans laque­lle vient se loger et couliss­er la corde.

Réacteur

N.m. Sys­tème de propul­sion util­isé prin­ci­pale­ment dans le trans­port aérien apparu durant la Deux­ième Guerre mon­di­ale. Il con­siste à chauf­fer forte­ment et rapi­de­ment l’air aspiré dans une tuyère dotée de pales internes afin de le dilater et de le faire ressor­tir avec une pres­sion accrue à l’arrière, provo­quant ain­si un déplacement. 

Réactif

N. et adj. 1. Sub­stances employées en chimie des­tinées à provo­quer des réac­tions. 2. Adj. Fém. ‑ive. Se dit d’une per­son­ne dont les réac­tions sont fortes et immé­di­ates. S’emploie égale­ment pour définir la capac­ité d’une per­son­ne à trou­ver une solu­tion à un prob­lème nou­veau ou dans une sit­u­a­tion d’urgence.

Réaction

N.f. 1. Force exer­cée par un matéri­au, égale à celle d’une con­trainte exer­cée sur celui-ci. 2. Réponse d’une per­son­ne à une sit­u­a­tion, notam­ment émo­tion­nelle. 3. Précédé de à. Mode de propul­sion, prin­ci­pale­ment employé dans l’aéronautique, con­sis­tant à chauf­fer forte­ment l’air pas­sant dans une tuyère et à le pro­jeter vers l’arrière par un canal étroit, accrois­sant ain­si sa vitesse et par­tant la pro­gres­sion. 4. Vieil­li. Ensem­ble de forces poli­tiques réac­tion­naires par oppo­si­tion à des forces progressistes.

Réactionnaire

N. et adj. 1. N. Per­son­ne s’opposant à une évo­lu­tion sociale, poli­tique, tech­nique et légiti­mant sa posi­tion en prenant appui sur des mod­èles anciens. 2. Adj. Se dit d’une pen­sée revendi­quant la remise en place de mod­èles de pen­sée ou d’action révo­lus en oppo­si­tion à une con­tem­po­ranéité et des évo­lu­tions perçues comme inquié­tantes et néfastes. 

Réactivation

N.f. 1. Remise en fonc­tion d’un mécan­isme, d’un mode d’action, d’un groupe poli­tique ou mil­i­tant. 2. Dans le champ de l’art con­tem­po­rain. Pra­tique con­sis­tant à remet­tre en forme et en jeu des œuvres plas­tiques, pic­turales, per­for­ma­tives après leur pre­mière occur­rence. Cette pra­tique n’est pas néces­saire­ment le fait de son pre­mier auteur, une reprise ayant aus­si une fonc­tion his­torique ou critique.