Électrolyse

N.f. Procédé chim­ique per­me­t­tant d’isoler un ou des élé­ments dans un milieu liq­uide au moyen d’un courant élec­trique. Il est égale­ment employé en métal­lurgie, le chro­mage par exem­ple, pour agglomér­er un matéri­au en solu­tion sur un métal immergé dans une solu­tion spé­ci­fique. L’élément à élec­trol­yser est relié à un pôle négatif et un pôle posi­tif. Une fois immergé, un courant passe à tra­vers l’objet, pro­duisant la réac­tion voulue par échange d’électrons.

Électron

N.m. Sous par­tic­ule présente dans les atom­es. Les élec­trons sont présents et se dépla­cent sur une ou des orbites sphériques entourant le noy­au d’un atome. Un atome a un nom­bre don­né d’électrons. Ceux-ci peu­vent, lors de change­ment de con­di­tions ou de la prox­im­ité d’une molécule, pass­er d’une couche orbitale à une autre, ou être extraits de l’espace d’un atome et se plac­er vers un autre, entraî­nant ain­si le change­ment de nature de l’atome duquel il a été prélevé.

Électronégativité

N.f. Mesure employée en chimie. Cette mesure révèle notam­ment que celle des métaux est tou­jours inférieure ou égale à 2,1. Cette échelle s’étend de 0 à 3,5 par pas d’un dixième.

Électronicien

N. Fém. ‑ne. Méti­er con­sis­tant à dévelop­per, con­stru­ire, amélior­er et répar­er des instru­ments électroniques.

Électronique

N.f. Sci­ence et ensem­ble de tech­niques dont l’objet est la cir­cu­la­tion d’informations et d’instructions au sein d’une machine au moyen de courants élec­triques min­imes employés comme sig­naux et non comme force.

Électrovalence

N.f. Quan­tité d’électrons égale entre deux corps dif­férents, qu’il s’agisse d’atomes ou de molécules.