Prépuce

N.m. Peau rétrac­tile recou­vrant le gland du pénis.

Près

Adv. 1. Proche d’une per­son­ne, sur le point d’atteindre un objec­tif, de résoudre une inter­ro­ga­tion. 2. Loc. adv. À peu près. De manière approx­i­ma­tive. 3. Près la ou le. En droit, indique l’instance ayant enreg­istré une déci­sion de jus­tice, ou la zone juri­dic­tion­nelle ter­ri­to­ri­ale à laque­lle est rat­tachée un juriste (avo­cat, juge).

Présage

N.m. Pro­pos annonçant la sur­v­enue ou l’issue d’une sit­u­a­tion, avant que celle-ci ne se soit pro­duite ou accomplie.

Présager

V. 1. Avoir la cer­ti­tude, sou­vent intu­itive qu’une sit­u­a­tion se pro­duira, ou qu’elle aura telle issue.

Presbyte

N. et adj. 1. N. Per­son­ne atteinte de pres­bytie. 2. Désigne une per­son­ne atteinte de presbytie.

Presbytère

N.m. 1. Habi­ta­tion attribuée à un pas­teur protes­tant ou angli­can dans la paroisse où s’exerce sa charge. Méton. Le bâti­ment lui-même, il soit habité ou non.

Presbytie

N.f. Affec­tion oph­talmique appa­rais­sant le plus sou­vent à par­tir de l’âge de cinquante ans. Baisse sig­ni­fica­tive de l’acuité visuelle proche, sans atteinte de la vision à distance.

Prescience

N.f. Capac­ité sup­posée à savoir avec cer­ti­tude des événe­ments, avant qu’ils ne se produisent.

Prescriptif, ve

Adj. 1. Désigne la dimen­sion oblig­a­toire de l’application d’une règle ou d’une loi dans les sci­ences et notam­ment dans le droit. 2. Se dit d’une sci­ence dont cer­taines lois ou théories ont valeur de vérité établie. 3. Se dit d’une posi­tion ou d’une atti­tude morale ou poli­tique, qui vise à dicter des usages, des com­porte­ments, en fonc­tion d’un cor­pus de règles préex­is­tantes, indépen­dam­ment de l’adéquation ou non de celles-ci avec le con­texte dans lequel elles sont appliquées.

Prescription

N.f. 1. Aspect d’une loi ou d’un règle­ment. 2. Doc­u­ment établi par un médecin spé­ci­fi­ant les médica­ments ou traite­ments annex­es néces­saires aux soins d’un patient. 3. Moment à par­tir duquel les pour­suites pour un crime ou un délit non résolu sont éteintes. Et, par­tant, date à par­tir de laque­lle il n’est plus pos­si­ble de dépos­er plainte pour un crime ou un délit subi. La pre­scrip­tion est vari­able selon la grav­ité des crimes, cer­tains étant comme imprescriptibles.