Badham, John

194?-. Réal­isa­teur améri­cain. Spé­cial­isé dans les films d’action. Il a notam­ment réal­isé Ton­nerre de Feu en 1983.

Badinage

N.m. Con­ver­sa­tion légère, apparem­ment anodine, pou­vant con­tenir une nuance de flirt.

Badine

N.f. Canne fine et flex­i­ble en bambou.

Badiner

V. 1. Tenir une con­ver­sa­tion légère, pou­vant avoir une nuance de séduc­tion. 2. Agir avec légèreté ou désinvolture.

Badinter, Robert

192?-. Avo­cat et homme poli­tique français. Son action comme avo­cat comme au sein du par­ti social­iste a fait de lui le porte-parole pour la sup­pres­sion de la peine de mort en France. Nom­mé min­istre de l’intérieur par François Mit­ter­rand en 1981, l’abolition a été pronon­cée. Il pour­suit par ailleurs sa car­rière poli­tique et pub­lie régulière­ment des livres d’analyse politique.

Badiou, Alain

194?-. Philosophe et romanci­er français. Philosophe poli­tique et engagé, sa pen­sée artic­ule des ques­tions ancrées notam­ment dans une pen­sée marx­i­enne, ant­i­cap­i­tal­iste et internationaliste.

Badminton

N.m. Du nom du château situé en Grande-Bre­tagne où il a été inven­té. Il se joue à deux ou à qua­tre avec des raque­ttes à cordage et un volant. Celui-ci est con­sti­tué d’une par­tie hémis­phérique en liège dans laque­lle sont fichées des plumes for­mant un cône et reliées entre elles à mi-longueur par une lig­a­ture. Les volants exis­tent aus­si avec un cône en plas­tique sou­ple ajouré. Le court fait env­i­ron douze mètres de long et 6 de large. Il est séparé en son milieu par un filet ten­du entre deux mon­tants, dont la par­tie inférieure se situe à env­i­ron 1,3 mètres du sol et le haut à approx­i­ma­tive­ment à 1,6 mètres. Chaque moitié du ter­rain est divisée, au moyen de mar­ques peintes, en cinq par­ties. À gauche et à droite, il y a deux couloirs d’environ 60 cen­timètres de large. Sur la moitié env­i­ron de la longueur depuis le fond, deux rec­tan­gles se ren­con­trent au milieu qui for­ment les zones de ser­vice. Enfin, entre l’avant de cette zone et le filet se forme un rec­tan­gle lim­ité par les couloirs. Le jeu con­siste à envoy­er le volant par dessus le filet dans la par­tie de l’adversaire et faire en sorte que le volant touche le sol. Les manch­es se jouent en vingt et un points et un match en compte trois ou cinq. Le ser­vice se fait en diag­o­nale et doit arriv­er dans l’aire du rec­tan­gle de ser­vice de l’adversaire. Si sa chute le fait arriv­er en avant de celui-ci, le ser­vice est per­du et repris par l’adversaire. Il faut ain­si, pour mar­quer un point, gag­n­er l’échange servi par son adver­saire, puis rem­porter le ou les ou les échanges suiv­ants. Le jeu a été inven­té au 19e siè­cle à la fin d’un repas où les par­tic­i­pants ont plan­té des plumes dans un bou­chon de cham­pagne, et employé des raque­ttes de jeu de paume. Il est devenu par la suite un sport.